1982, j’ai 17 ans, Alan Parker me fait exploser le cerveau, avec le film qui restera « le film qui m’a marqué » : The Wall The Wall me projette dans le passé, le présent, l’avenir, et l’étouffement dans lequel je suis, coincé à l’époque dans des murs que j’imagine infranchissables : les murs de la ségrégation sociale, les murs de mon quartier, les…